I was just a little girl, but there was hell of lot more to me.
Tout commence avant ma naissance, enfin c'est ce qu'on raconte, je ne suis pas au courant de cette histoire et je le serais peut-être jamais. Mon père avait perdu beaucoup d'argent et il avais des dettes auprès de la mafia, il s’était enfuit comme un lâche, enfin, c'est ce que ma mère à cru, c'était juste une tout autre vérité qui s'était passé, il avais été tuer lors d'un braquage de banque pour le compte de cette stupide Mafia.
Ma mère me donna naissance mais la mafia voulais son argent alors ils l'ont menacer de me revendre pour récupéré l’argent que mon père leur devais !! Ma mere et mon père avaient du sang indien dans leur veine. Ma mere parti en voiture quand je fût âgée de 4 mois seulement, elle eu un accident à cause de la mafia qui l'avais éjecté en hors de la route avec leur gros 4X4, vu la petite voiture de ma mere, elle ne fit pas le poids. Les hommes voulais me récuperé mais il n'en eurent pas le temps, la seule chose qu'ils ont su faire était de vidé de l’alcool sur ma mère pour faire croire qu'elle étais saoule.
Et voila tout ce que je sait vraiment, un samedi comme les autres qui me vit naître. Je ne saurais vous dire à quoi ressemble ma mère ni même comment elle s'appelle vu qu'il semblerais qu'elle aie donné un faux nom à ma naissance, comme tout le reste d'ailleurs. Les premier mois de ma vie me sont totalement inconnu. Qui sont mes parent ? À quoi ressemblent-ils ? Où sont-ils ? Sont-ils encore ensemble ? Je ne le saurais peut-être jamais mais, grâce à mes recherches, j'ai réussi à avoir des nouvelles sur une jeune femme et sa fille qui ont eu un accident alors que la petite n'avait que 4 mois, rien n'indiquait que cette femme pouvait être la mienne mais, et si cette femme qui était morte dans cet accident étaient ma maman et cette petite fille qui est la seule à avoir survécu à l'accident doit, aujourd'hui, avoir le même âge que moi mais je n'arrive à trouver aucune trace d'elle après cet accident. Est-ce bien moi ? Ou est-ce que je suis une mauvaise piste ? Qui sait, seul l'avenir nous le diras.
Mais c'est comme si ils n'avaient jamais existé, l'article du journal est la seule choses que j'ai trouvé mais aucun nom n'avait été citer ni même aucun détails qui aurait pu m’orienter. Mes origines sont perdues pour toujours, tout ce qu'il me reste, c'est mon prénom. Cela peut paraître bizarre mes la seule documents qui ont été retrouvé lors de l'accident fut un carnet de santé avec juste mon prénom inscrit dessus, même pas le nom de famille. Jamais je ne saurais à quoi ils ressemblent ni même si ils étaient différent, tout comme moi. Peut-être est-ce pour cela que je ne trouve aucune piste sur mes parents et qu'ils n'ont laissé aucune trace de leurs existences derrière eux.
Toujours est-il que j'ai atterri à l'orphelinat alors que je n'avais que 4 mois, je n'en garde aucun souvenir que l'odeur de la cire sur le parquet et la bonne odeur de la soupe de Nora, une femme au grand cœur particulièrement attentionnée avec les enfant,elle a essayer de m'aider alors que je recherchais mes racines. J'aimais les rares photos que j'avais à cette époque mais, bien-sûre, aujourd'hui il n'en reste rien, enfin peut importe...
Je suis resté à l'orphelinat jusqu'à l'âge de 12 ans, les démarches administrative afin de pouvoir adopté prenaient assez bien de temps mais une famille finit par s’intéresse à la petite fille que j'étais. Ils sont venu me voir assez régulièrement durant plusieurs semaines, durant au moins 6 mois, avant de finalement prendre la décision de m'emmener avec eux dans leur belle maison et, ainsi, devenir une toute nouvelle famille. Tiffany et John Swity étaient mes nouveaux parents, un couple charmant sans réel difficulté financière vivant un mariage parfait et ayant beaucoup d'amis. La vie était parfaite, le seul petit bémol, et la raison pour lequel ils ont dû m’adopte, c'est qu'ils étaient dans l'incapacité de pouvoir procréer après la naissance de leurs fils, mais je vais pas m'en plaindre, ceci est malheureux pour eux mais, grâce à cela, j'ai les meilleurs parents du monde.
Ainsi je commença ma nouvelle vie, un quartier résidentiel bourgeois au nord de la ville, choyée et aimée, c'était à se demander comment je n'ai pas fini étouffée par toute les peluches et autre bricole qui envahissait ma chambre. Je grandit rapidement, une vrai petite aventurière. Ma passion était a priori de m'échapper systématiquement de ma chambre.
Enfin, mon histoire, ou plutôt mon cauchemar, commença alors que je venais d'avoir 16 ans, je sorti en cachette afin d'aller au bar avec des amis. Vers 23 heures, je me dit qu'il était temps pour moi de rentrer chez moi. Je dit au revoir à mes amis et sorti du bar. Sur le chemin, une camionnette s’arrêta à côté de moi, des hommes en sortirent, pour comment dire s'amuse avec les jeune femmes que j'étais. Malheureusement je ne savais que j'étais un lycan, d'un coup je sorte mes griffe et les blessa. Je m'enfuis à tout vitesse pour ne pas voir se que j'avais fait, cette histoire je ne parle à personne. Et je garde le loup a tout jamais en moi.
Mais n'était pas fini à mes 18 ans, il y avais une guerre entre les créature surnaturelle comme moi et les chasseurs, des chasseurs m'avaient poursuivie dans les bois, il se mirent à me tirer dessus comme si j'étais un animal, Après plus d'une heure de poursuite, les chasseurs m'ont touché à la jambe, la douleurs étais si forte que j'étais tombe au sol, une fois que les chasseur arrivais à mon niveaux, je me suis comme endormir, ils avaient sûrement utilisé ce qui semble être du chloroforme et m'emmenèrent je ne sais où.
Quand je repris connaissance, je compris de suite que je n'était pas dans ma chambre, ni même à l’hôpital, non, au lieu de cela j'étais fermement attaché sur une table, ils reste là à m’observe durant des semaines alors que j'étais prise d' horrible douleur, jusqu'à ce qu'ils décident de m'endormir avec un produit vraiment puissant et c'est la que je suis arrivé à me libéré. j'étais un être surnaturel, malheureusement beaucoup de personne n'était as du même avis que mes parents, mes parents m'aime comme j’étais.
Durant cette année, je fit des études pour rentré dans la police mais, disons que vu ma force et mon endurance que j'ai grâce à mon côté surnaturelle, je fut remarquer par le chef du FBI, il cherchais de nouvelles recrues et j'étais choisi pour poursuivre mes cours afin d’être un agent du FBI. C'était super, qui rêve d'être à ma place ? Beaucoup de personne, enfin je crois !!! J'étais heureuse que cette partie de moi, ce lycan me serve à autre chose que d'être un monstre, me voila à l’école du FBI.
They lock me up in chain like an animal.
Trying to tame me, to break me.
Alors que j'avais 21 ans, des hommes m'attendirent à la sortie d'un Bar où je travaillais sous couverture, je devais entrer dans la Mafia et voila que ses hommes m'ont proposé de rentrer dans leurs rangs, quoi de plus beau, non ? Mais tout cela allais être fini, j'avais des preuves contre eux mais voilà, les sentiments allaient mettre fin à la mission. Je fit la rencontre d'une femme, elle me parla de sa petite fille disparue et de faire attention a moi, elle me me dit qu'elle ce nommais « Angela », c'était moi, elle me raconta pour l'accident et tout, je crois de plus en plus en ce qu'elle me disait et c'est là que je dit toute la vérité, que j'étais la fille tout collais et là cette femme souria et me dit « Merci », à ce moment, des homme rentrèrent dan la pièce et ils ont commencés à me frapper, jusqu'à ce que je tombe dans les pommes. Quand je me suis réveil j'étais blessé et il m'était impossible de me détaché. Je ne savais pas ce que je faisait là, ni même ce qui allais bien pouvoir m'arriver mais mon instinct, lui, m'indiquait que cela n'envisageait rien de bon.
Je suis resté dans cette position durant quelques jours sans même que l'on daigne m'apporter eau et nourriture, on m'a laissée seul avec pour seule compagnie des caméra. Je savais que l'on m'observais et ils devaient sûrement s'attendre a voir comment j'allais réagir au manque d'eau, de nourriture et de soin, étudier ma résistance physique et mental. Je me suis rapidement remise de mes blessure mais cela ne changeait rien à ma fureur, le fait de ne pas savoir qui était derrière tout ce cirque, cette solitude, cette soif et, surtout, cette faim m'enrageais à un point tel que l'on ne peut imaginer.
Quand ils me jugèrent prête, qu'ils décident de m'endormir avec un produit encore une fois vraiment puissant et ils m’enchaînèrent de nouveau mais cette fois j’étais debout. Le jeu allait enfin commencé. Ils me firent alors subir un interrogatoire dans les règles de l'art, qu'est-ce que j'étais ? Qu'est-ce que je savais ? Et moi qu'il leurs disait d'aller pourrir en enfer, cela me valu des coups de poings, des coups de matraques, etc.... Mais je ne me laissait pas abattre, j’encaissais, parfois même je rigolais en attendant et imaginant le moment où je leurs montrerais ce dont moi je suis capable, mais j'espérais également que tout cela se termine et vite.
I was waiting for my friends, they never came
I was alone, me and the animal.
Deux semaines ont passé et toujours pas de nouvelles d'éventuel sauveur, le temps commençait à me sembler long et mon sang qui maculais de plus en plus le sol. Que cherchaient-ils ? J'avais d'abord pensé qui savais que j'étais une créatures surtout à cause des questions qu'ils posaient mais ils semblaient bien trop nous méprisé pour cela. Les coups commençaient à se faire ressentir de plus en plus fort, de plus en plus souvent, ils leurs arrivaient même d'utiliser des battes de base-ball, ou même, parfois, des tubes de métaux quand je me mettais à me moquer d'eux. Quoi? j'étais peut être enchaînée mais je ne leur était pas soumise pour autant.
Ils me posaient sans cesse les mêmes questions, qu'il n e servait à rien de résisté dans l'espoir que l'on vienne me sauvé car mes amis seraient dans l'incapacité de me retrouvé la où je suis, mais cela m'importait guère car je savais que tout ce qu'ils disaient n'était qu'un ramassis de mensonges, que, quoi qu'il arrive, mes amis finiraient par me retrouvé. Quel pauvre idiote que j'étais à ce moments-là.
Quand à mes ravisseurs, ils avaient bien compris que je ne collaborerais jamais cela avais l'air de les énervé au plus haut point. Au grands maux, les grands remède, je savais que cela finirais par arriver, ils décidèrent qu'il était temps de me briser psychologiquement. Je n'étais de tout façon qu'un animal pour eux, un animal sauvage et dangereux qu'il faut domestiquer, le briser jusqu’à ce qu'il soit sage et obéissant. Mais je ne les laisserais pas faire, je préfère encore mourir. Ils commencèrent à me torturer de diverse manières, ils me mouillaient puis utilisèrent une matraque électrique afin de me faire sentir le courant dans tout le corps, ils m'enfonçaient des couteaux dans le corps à des endroit où ils ne risquaient pas de me tuer afin de me faire bien souffrir, enfin, ce genre de petit jeu dangereux qui en aurait fais craquer plus d'un, mais pas moi.
J'ai failli m'évader à plusieurs reprise, mais ils me droguaient et il devenais facile pour eux de me rattraper, après chaque fuite de ma part, la torture, les coups, se faisaient plus violents.
Je peut encore sentir la lame de ce type à l'accent allemand me déchirer la chaire, à chaque fois au même endroit, si mon corps n'avais pas faite disparaître, la vision de cette cicatrice me hanterait toute ma vie.
Je ne compte plus le nombre de jours que je suis rester ici mais ce que je sais c'est que ça fait assez longtemps pour que je puisse dire que mes ravisseurs avaient raison, mes amis, ma famille, tout le monde m'avaient abandonné. Mes ravisseurs me montrèrent un article du journal qui parlais de ma disparitions et que les policiers me pensaient morte après tout ce temps et qu'ils allaient faire mon enterrement aujourd'hui même, cela faisait 3 ans que je vivais ça. Plus personne ne me rechercherais, j'étais seule face à mes bourreaux et cela ne présageait rien de bon.
La colère, l'injustice, la douleur... Je n'était plus que l'ombre de moi même. Par moment, je ne parvenait plus à retenir l'animal qui sommeil en moi et son instinct reprenait le dessus, elle se nourrissait de ma douleur, de ma haine, de ma rage et cela réveillait mon instinct de survie.
Les flammes, le bruit du chalumeaux faisant crépiter ma peau sous son feu joueur, savez-vous ce que cela fait d'être confronter à sa plus grande peur sans pouvoir se défendre ? De pensez y rester de cette façon ? Ce fut le cas pour moi chaque jours ou presque. Je pense que leurs groupes n'avaient plus besoin de moi, qu'ils décidèrent juste d'attendre que je meurt dans la douleurs ou bien que cette dernière me fasse perdre la tête. C'était déjà fais de toute manière, je m'était complètement abandonné à la bête qui sommeillais en moi, Angela n'était plus, il ne restait plus que le loup, plus que la part lycan, cette créature sauvage
J'ai patiemment attendu, mon corps s'habituant à la drogue, devenant de plus en plus résistant, ma peau devenait de plus en plus dur dû aux coups de fouets et aux brûlures. Mes cris les faisaient rire. Je hurlais de douleurs et de rages. À force de souffrir, je commença à devenir docile, sage et obéissante, faisant semblant de vouloir coopérer, ma réaction me degoutais mais je n'avais pas le choix si je voulais récupéré des forces, si je voulais survivre.
Quatre jours plus tard, j'avais assez récupérer malgré les coups et la torture qui ont continuer mais à une plus faible fréquence. Lorsque 2 geôliers vinrent pour me nourrir, j'étais prête à les recevoir, contrairement à eux. Ils parlaient d'une arène, je devais en savoir plus, tel était ma mission de base au FBI, je devais allez voir pour savoir ce qu'il se passais là-bas. C'est comme ça que je suis arrivé dans ce combat, face à d'autres créatures, c'était eux ou moi, j'ai du tuer pour vivre, je n’oublierais jamais cela, je ne voulais pas utiliser le lycan qui dormais en moi , mais un jour, c'était cette femme qui arriva dans l’arène, c'est la qu’elle me dit toute la vérité. Qu'elle n'étais pas ma mère mais qu'elle l'avais tuer. Je ne pu supporter cela et c'est là que la bête brisa ses chaînes et massacra ses geôliers, la survie et la liberté étaient les seul choses qui comptait. Je ne sais pas combien de personne j'ai bien pu tuer, 5 peut-être plus, démolir serait peut-être un meilleur terme à utiliser, jamais auparavant je n'avais autant utilisé mes griffes et mes dents. Plus jamais je ne retournerais en cage, plus jamais ils ne me toucheront. La seule chose que je regrette, c'est de ne pas avoir pu tous les massacrer, ces chasseurs.
✗ I wear the scars of my past on my back ✗
No one will ever change this animal i have become
La plupart des marques que je portait ont disparu, surtout grâce à mon don de régénération.
Je garde malgré tout encore de large cicatrice dans le dos, les marques du fouet en cuir dont les coup revenait encore et encore chaque jour mentalement jusqu'à ce que mon corps ne cicatrise plus.
Mais, à présent, je ne les cachent plus. Je suis furieuse, j'enrage d'avoir attendu, d'avoir cru en de soi-disant famille qui m'ont trahi, de ne pas en être sorti plus tôt.
Je me souvient de la haine que l'on peut nous porter, des coups, je ne laisserais plus jamais cela se reproduire. Plus jamais on me privera de ma liberté. J'étais allez au FBI pour tout leur dire mais cela ne vit jamais le jours, la peur qu'on me croient coupable de meurtre ? Où tout simplement pour cacher ma part de loup-garou. J'ai une nouvelle famille, le FBI à Purgatoire, une ville prêt de Beaçon Hills, les gens là-bas sont tout ce qu'il me reste. Ce monde est hostile, ce n'est rien, je ne le laisserai pas me dévorer, je ne suis plus la proie, je suis le prédateur.
Je suis peut être un animal, mais personne ne domptera l'animal que je suis, personne ne me contrôlera....Je suis mon seul maître.
You were my angel, the better side of me.
You open my eyes to the world.
j'ai couru pendant des jours avant de retrouver New york, épuisée, les pieds en sang, mon corps recouvert de cicatrice et de plaies. Mais je n'étais plus humaine, un animal blessé dans une grande ville, deux jours dans la rue à voler pour manger avant de presque tuer un homme qui avait eu la mauvaise idée de croire qu'il pourrait avoir des faveur en échange de nourriture, de drogue et c'était donc montrer légèrement entreprenant. Quand je me suis rendu compte de ce que j'allais faire cela m'empêcha de le tué.
J'avais enfin trouver un lieu où je n'étais pas un monstre, cette FBI à New york, surtout un homme qui étais le chef, m'ont aider à me reconstruire. Là bas, ils ont pris soins de moi et m'ont fourni les premiers secours et de la nourriture ainsi qu'une chambre au calme. J'étais comme à la maison, une nouvelle vie. Vu ma missions et tout ce que j'ai pu dire sur la Mafia, la bas mais je ne savais pas où se trouve l’arène, malheureusement, tout en cachent une partie.
3 mois s'était écoulé, la situation ici était compliqué, j'ai tenté de rentrer dans le moule, d'oublier, de passer à autre chose, de redevenir comme j'étais avant mon enlèvement, d'être une bonne amie, mais je n'était qu'un animal sauvage, avec la rage au ventre et cette envie de sang. Je suis devenue violente, moins sociable.
Et ma nouvelle famille ne me comprenait pas, je ne voulais pas parler et ça semblait les arranger à vrai dire, ils n'auraient sûrement pas su entendre ce qu'il c'était passé et j'avais honte. J'ai alors demander à être transféré dans un FBI prêt d'une ville du nom de Beacon Hills. Me voilà dans un autre monde et ma mission, en plus de cela, étais de sauvé le plus de créatures comme moi perdu dans un monde où le chaos était roi, je suis alors devenu alpha et j'appris par des gens que cela s’appelait True Alpha et j'oublia tout ce qui c'était passé, j'avais mon travaille et ma meute ainsi que ma missions.
Petit à petit, tout cette rage en moi diminua, j'arrive de mieux en mieux à me contrôler et à devenir un peu plus humaines qu'animal. J'avais enfin trouver une famille qui n'avais pas peur de moi, ni de l'animal en moi. Je m'en suis sortie seule, en laissant à l'agonie une partie de moi. J'ai survécus mais pour combien de temps ? Car l'animal en moi et toujours plus sauvage et dangereuse que jamais.